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département des hauts de seine - Page 2

  • VANVES ET L’ENQUETE BIENNALE SUR LE SENTIMENT D’INECURITE EN ILE DE FRANCE

    Réalisée tous les deux ans par l'Institut Paris Région, la 11éme enquête (2021) «Victimation et sentiment d’insécurité en Île-de-France»,  fournit de précieuses informations sur les caractéristiques de l’insécurité par territoires, types d’espaces ou genre, grâce à l’interview de 8 000 Franciliens par téléphone sur leurs conditions de vie, et plus particulièrement leur exposition, dont peut être des vanvéens. Les résultats montrent un recul des atteintes aux personnes et aux biens (victimations), accompagné d’une préoccupation sécuritaire croissante.

    Elle a fait plusieurs constats que vous pouvez retrouver sur le site internet decet organisme dont une situation assez hétérogène entre départements : En ce qui concerne le sentiment d’insécurité, la Seine-et-Marne apparait en 2021 comme étant le département francilien qui présente le plus fort taux (59,5 %), devançant ainsi la Seine-Saint-Denis (25,8%), les Hauts de Seine (15,4%). Quant aux atteintes subies, les Parisiens, et dans une moindre mesure les habitants des départements de petite couronne, restent davantage victimes que la moyenne des Franciliens. «Si la part de la population encline à avoir peur a augmenté entre 2017 et 2019 (+2,9 points), elle a perdu 2,7 points entre 2019 et 2021, descendant à 45 %.

     Le détail des peurs selon le lieu où elles se manifestent montre que la peur d’être seul dans son quartier le soir reste relativement stable, et ce depuis 2017 (19,5 % des Franciliens en 2021 déclarent redouter de sortir seuls dans leur quartier le soir, 15,4% dans le 92). La peur chez soi (7,0 %) a diminué de 2,2 points par rapport à 2019 (3,9% dans le 92 contre 8,5% en 2019), sans qu’une tendance se dégage sur le long terme. Quant à la crainte de l’agression ou du vol dans les transports en commun, elle est en recul. La baisse est particulièrement marquée pour le train (-4,5 points) et le bus (-3,1 points). Pour autant, le classement des modes de transport les plus «anxiogènes» reste inchangé, le RER arrivant en tête (30,2 % des enquêtés y expriment de la crainte), suivi par le métro, (29,2 %), le train (19,8 % en IDF, 15,8% dans le 92), le bus (15,0 %) et le tramway (13,0 %)» selon l’Institut.

    Parallèlement, en 2021, les Franciliens tendent davantage à avoir une bonne image de leur quartier que deux ans plus tôt. «Parmi les améliorations les plus notables sont mis en évidence les problèmes de propreté des rues, d’éclairage ou encore d'entretien des bâtiments et des espaces verts (cités par 25,3 % des enquêtés, contre 30,3% en 2019), de présence de bandes de jeunes gênantes (21,5 %, contre 24,6 %), de vandalisme (23,1 %, contre 26,0 %), de drogue (23,4 %, contre 26,0 %) et, dans une moindre mesure, de bruit (27,3 %, contre 28,7 %) ». Un constat qui s’accompagne d’une relative stabilité concernant les aspirations des Franciliens à quitter leur quartier.  «25,4 % de la population déclare qu’elle aimerait quitter son quartier début 2021, un taux assez proche de ce qui avait été observé en 2019» selon l’Institut

    Par ailleurs, les Alto-Séquanais ont été moins victimes d’agression en 2021 (41 %) que deux ans auparavant (50,4%). 

    Pour cette étude, les enquêtés ont également été interrogés sur la perception de leur cadre de vie. Dans les Hauts-de-Seine, la population reste globalement satisfaite, remarque l’Institut Paris région : 93,1 % le trouvent pas loin de tout, 92,7 % agréable à vivre et 93,4 % sûr ou plutôt sûr. 

  • VANVES SIGNE UN CONTRAT DE DEVELOPPEMENT AVEC LES HAUTS DE SEINE

    Georges Siffredi, Président du Département des Hauts-de-Seine  (CD 92) et Bernard Gauducheau, Maire de Vanves ont signé le 4e contrat de Développement entre le Département et la Ville de Vanves. Ce contrat (2022-2024) matérialise un soutien financier à la commune de 5 384 860 €.

    Dans le cadre de sa politique de soutien aux communes, le Département apporte ainsi un appui financier régi par un partenariat contractuel couvrant une période triennale. Un tel contrat regroupe ainsi les subventions versées aux communes, simplifie l’instruction des demandes tout en les accélérant. «Ce dispositif affirme le rôle de partenaire du Département auprès des communes tout en leur permettant d’engager des projets structurants avec une aide financière pérenne».

    Le montant du soutien financier départemental pour la ville de Vanves s’élève à 5 384 860 € et est réparti comme suit :

    - 4 000 000 € en investissement consacré à la réhabilitation de l’école du Parc

    - 1 384 860 € en fonctionnement pour les établissements municipaux d’accueil du jeune enfant (935 091 €), des  activités culturelles (186 000 €),  sportives (202 650 €) t la  Coordination gérontologique (61 119 €)

    Il s’agit du quatrième contrat de développement entre le Département et la ville de Vanves. Le montant de ce contrat en investissement marque une augmentation de 145 % par rapport à celui signé en 2019- 2021 qui s’élevait alors à 1 630 000 € (pour un total de 3 208 823 € investissement et fonctionnement confondus).

    Depuis 2013, le Département met en œuvre des contrats de développement avec les 36 communes de son territoire afin de faire émerger et de soutenir des projets locaux. Au total, 110 contrats ont été approuvés avec les communes ce qui représente un montant de 659 millions d’€ (427 millions d’€ en investissement et 232 millions d’€ en fonctionnement). En comparaison avec la période 2010-2012, les financements départementaux ont augmenté de 400 % en investissement. Le montant des contrats en fonctionnement sera revalorisé chaque année en fonction de l’inflation.

  • UN ETE CALME MAIS TRES CHAUD A VANVES

    Cet été à Vanves comme dans notre région et en France a été marqué par canicules depuis le 14 juillet. Les vanvéens ont recherché alors des îlots de fraicheur rares dans notre ville en dehors du parc F.Pic et des squares. Beaucoup ont regretté la fermeture de la piscine pour travaux, ne pouvant se tourner vers Issy les Moulineaux où la piscine a été fermé pour économie d’électricité, ni Paris ou plusieurs piscines ont été touchées par une gréve de leur personnel. «La ville aurait pu choisir décembre pour réaliser ces travaux !» a-t-on lu sur les réseaux sociaux. Ce n’est pas la première fois.

    En tous les cas, le pôle senior, renforcé par deux assistantes de convivialité, a mis en place son plan canicule. Il s’agit pour les assistants de convivialité de maintenir un lien avec les personnes les plus fragiles et isolées, mais aussi de rappeler les conseils de prévention pour lutter plus efficacement contre les effets de la chaleur et ce par le biais de visites à domicile ou d'appels téléphoniques réguliers. 260 visites de convivialité avaient été réalisées sur la commune en 2021, peut être plus cet été. Il n’empêche pas certains seniors de passer au travers, tout simplement parce qu’ils ne se sont pas signalés. Peut être était-ce le cas pour ces deux personnes âgées retrouvés mortes à leur domicile 3 semaines leur décés autour de la mi-Août.

    L’un des effets de ces canicules, a été le placement des Hauts de Seine et la région Ile de France en vigiliance sécheresse. C’est le premier des quatre niveaux de sécheresse. Suivent les statuts d'alerte, d’alerte renforcée et enfin de crise. Le débit de la Seine qui était passé le 25 juillet 2022 sous le seuil de 81 m3/s à la station de Paris-Austerlitz a été l’élément déclencheur de ce passage en «vigilance» sécheresse, précisait la préfecture qui recommandait à «l’ensemble des usagers (particuliers, collectivités, services publics, entreprises, industriels) d’adopter une gestion économe de l’eau afin de préserver la ressource» : limiter les usages d’ordre secondaire : nettoyage des voitures, lavages extérieurs…réduire le lavage des voies et trottoirs au strict nécessaire de salubrité, réduire les consommations d’eau domestique, limiter les arrosages des espaces verts et éviter l’arrosage aux heures les plus chaudes. Des conseils relayés par le préfet des Hauts de Seine aux maires altoséquanais dont Vanves.  Mais aucunes mesures de restrictions obligatoires n’ont été prises, pour l’instant